Impact investing / Venture Philanthropy / Startup Studio

Partout, des entrepRENEURS AGISSENT POUR UNE société plus juste

Nous les aidons à changer d'échelle

Une fille trisomique heureuse
Une femme handicapée heureuse
Solidarité entre un jeune et une senior
Un basketteur en fauteuil roulant
Un basketteur en fauteuil roulant
Solidarité avec un senior
classe excellence ruralités
Une enfant malade heureuse
Eglise à reconstruire
Solidarité pour la préservation du patrimoine
industrie nucléaire française
Une fille trisomique heureuse

Nous rassemblons le meilleur des mondes de l’investissement, de l’entrepreneuriat et de la philanthropie pour créer et accélérer des projets à impact positif

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Projets soutenus
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MILLIONS D'EUROS D'ENGAGEMENTS EN 2023
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membres passionnés au sein de l'équipe

PASSAGE à L'éCHELLE

Acteur de la philanthropie, le Fonds du Bien Commun s’engage aux côtés des entrepreneurs sociaux et associatifs qui œuvrent à construire la société de demain. 

Notre mission : sélectionner les projets à fort potentiel, définir avec leurs dirigeants les stratégies de développement et accompagner toutes les étapes du changement d’échelle.

OUTILS

3 modes d’action complémentaires

Le Fonds du Bien Commun est un acteur hybride et unique de la philanthropie française. Afin de soutenir tous les projets œuvrant au bien commun, nous avons conçu trois outils distincts.

Investissements

Le Fonds Impact par le biais d’Otium Impact investit à long terme dans des jeunes entreprises ou des entreprises matures à fort potentiel, en priorisant l’impact durable sur les territoires. 

DonS

Le Fonds de dotation du Bien Commun finance les associations reconnues d’intérêt général, en priorisant le passage à l’échelle des projets soutenus. 

Incubateur

L’Incubateur du Bien Commun accompagne des entrepreneurs sociaux et associatifs à tout stade de développement.

Vous agissez aussi pour le bien commun ? Vous avez un projet ?

Vous souhaitez nous rejoindre ou agir pour l'un de nos partenaires ?

nos priorités

Les DOMAINES D'ACTION

Le Fonds du Bien Commun a choisi d’orienter son action autour de quatre domaines prioritaires de la philanthropie :

  • L’éducation intégrale
  • La croissance humaine & spirituelle
  • La solidarité
  • Le patrimoine & la culture
logo les bienfaiteurs

Les Bienfaiteurs

Les Bienfaiteurs organisent des ventes des plus belles marques au profit de causes. Le commerce sert ainsi la transformation de la société.

Modalité du soutien :

Domaines d'action :

logo luminiscence

Luminiscence

Luminiscence valorise l’architecture et l’histoire d’édifices par le théâtre, la musique et des technologies sons & lumières. Après avoir ravi plus de 90.000 spectateurs à Bordeaux, Luminiscence prend place dans l’église des Halles à Paris à l’occasion de ses 800 ans, avant de partir à Lille. L’entreprise reverse une partie de ses recettes pour la conservation du patrimoine bâti.

Modalité du soutien :

Domaines d'action :

logo Les Bullotins

Les Bullotins

Les crèches inclusives Les Bullotins ont ouvert deux premiers établissements en 2021 et 2023, avec la perspective d’en ouvrir progressivement une centaine partout en France. Les Bullotins accueillent des enfants qui présentent un écart de développement partant du constat qu’une prise en charge précoce et pluridisciplinaire augmentent considérablement les chances d’une inclusion scolaire réussie. Leurs crèches inclusives permettent l’accueil des enfants en situation de troubles du neurodéveloppement. Avec cette prise de participation, menée conjointement avec la la Caisse des Dépôts – Banque des Territoires, le Fonds du Bien Commun entend accompagner Les Bullotins dans leurs projets de développement visant à ouvrir d’autres crèches en France et contribuer ainsi à la prise en charge précoce des neuro-atypismes pour faciliter leur intégration au sein du système éducatif et, plus généralement, au sein de la société.

Modalité du soutien :

Domaines d'action :

Et pourquoi pas votre projet ?

Vous portez un projet qui correspond à l’un de nos quatre domaines d’action prioritaires ? 

Vous avez l’ambition de changer d’échelle et ressentez la nécessité d’un accompagnement stratégique et financier ?

QUI NOUS SOMMES

notre EQUIPE

Une équipe au service deS projets

L’équipe est constituée de profils issus de l’univers du conseil, de l’investissement et de la philanthropie, à l’image de notre accompagnement 360° sur mesure des porteurs de projets. 

Nos actualités

la voix du bien commun

une soeur qui porte son petit frère

Le Fonds du Bien Commun publie son rapport d’activité pour l’année 2023, qui témoigne de la croissance de son organisation et de son impact.

Créé en 2021, le Fonds du Bien Commun poursuit la mission de répondre aux défis de la société, notamment en matière d’éducation, de solidarités, de culture et de croissance humaine & spirituelle.

Cette mission se déploie par l’investissement dans des entreprises à impact, le soutien d’association ou l’incubation de projets.

Pour chaque projet soutenu, le Fonds du Bien Commun met en œuvre un accompagnement stratégique de long terme . En 2023 :

  • 43 M€ d’engagements
  • 130 projets soutenus et accompagnés

Pour Alban du Rostu, directeur général, « sans la qualité de nos collaborateurs et de nos partenaires, rien n’aurait été possible. Je tiens à exprimer ma profonde gratitude envers tous ceux qui ont aidé le Fonds du Bien Commun et qui lui ont fait confiance. Ensemble, continuons à aider ceux qui aident, au bénéfice de la société toute entière ».

Louis Janmot Le Poème de l’âme

L’exposition « Louis Janmot, Le Poème de l’âme », organisée par l’Établissement public des musées d’Orsay et de l’Orangerie, en collaboration avec le musée des Beaux-Arts de Lyon, a trouvé son public. Mettant en lumière l’œuvre intégrale de Louis Janmot, un artiste autrefois élève du célèbre Ingres, cette exposition a attiré l’attention du public et des critiques.

La présentation complète du « Poème de l’âme », une œuvre aussi vaste que profonde, était une première. Fruit de quarante-cinq années de dévouement artistique, elle offre une plongée dans le voyage initiatique d’une âme à travers la vie terrestre. Cette composition, à la fois littéraire et picturale, comprend 18 peintures et 16 dessins, accompagnés de 2 817 vers poétiques.

L’exposition a connu un important succès, accueillant 240 928 visiteurs, soit une moyenne de 2 349 personnes par jour. Ce chiffre témoigne de l’intérêt grandissant pour cet artiste méconnu, dont l’œuvre, profondément introspective interpelle. La réception positive de l’exposition par les visiteurs et la presse souligne l’importance de la diversité dans les programmes des musées. En définitive, cette exposition a non seulement rendu hommage à l’œuvre unique de Louis Janmot, mais a également permis d’agrandir le cercle des admirateurs de l’artiste.

Le Fonds du Bien Commun, soutien de l’exposition, est heureux de cet engouement, à la fois un hommage mérité à l’œuvre de Louis Janmot et une remarquable réussite pour le Musée d’Orsay. En effet, cette exposition a non seulement permis de redécouvrir un artiste oublié mais a aussi contribué à enrichir la culture artistique du lien travaillé par l’artiste entre peinture, poésie, et thèmes profonds de l’existence humaine.

La collaboration entre les institutions culturelles a joué un rôle clé dans cette exposition. Les prêts exceptionnels du musée des Beaux-Arts de Lyon ont permis une présentation complète et immersive de l’œuvre. Cette synergie reflète un effort commun pour la valorisation du patrimoine artistique français et la diffusion de la culture.

enfants de l'association Esprit de patronage

Lancé en 2022, l’incubateur Esprit de Patronage s’est imposé comme un acteur national incontournable du paysage éducatif. Il favorise la création de nouveaux patronages en milieu rural comme urbain, propose un accompagnement personnalisé, met à disposition des ressources pratiques et forme les éducateurs. En un an, son équipe a accompagné plus de 127 patronages dans 10 régions.

Les patronages sont des structures associatives ouvertes aux jeunes de tous horizons de 6 à 17 ans. Ils proposent proposant du soutien scolaire, des activités éducatives, sportives et artistiques et des jeux, adaptés à chaque âge.

Largement tombés en désuétude au cours des dernières décennies, ils étaient autrefois la structure privilégiée d’éducation populaire des jeunes Français. Il y a 100 ans, on comptait plus de 15.000 patronages à travers l’hexagone. Aujourd’hui au nombre de 200, ils connaissent une dynamique nouvelle grâce à une demande croissante des familles, un coût très faible (voire la gratuité) d’inscription et la qualité des activités proposés.

Un incubateur pour rendre accessible l’éducation intégrale

Les patronages répondent aux besoins des familles et des enfants, mais aussi des collectivités et de la société tout entière, en termes de lien social, d’occupation du temps extrascolaire, d’aide aux devoirs et de lutte contre le décrochage scolaire, de prévention des difficultés éducatives et de quête de sens.

En un an, l’incubateur Esprit de Patronage s’est imposé comme une référence en matière de démocratisation de l’éducation intégrale : 700 éducateurs formés, 21 patronages créés dans 16 départements, 127 patronages accompagnés dans 10 régions, plus de 8400 heures dédiées à la formation….

Un développement remarqué par la Presse

Le quotidien national La Croix a salué la « dynamique nouvelle » permise par cet incubateur. Pour Amaury Perrin – RCF – « ces tiers-lieux éducatifs pour enfants connaissent un nouvel essor depuis quelques années et attirent toujours plus d’enfants et d’adolescents. Ces centres de loisirs chrétiens sont désormais ouverts à tous et affichent une volonté de s’imposer en alternative solide et sérieuse aux centres classiques. »

Le Fonds du Bien Commun est heureux de soutenir et d’accompagner cette initiative en faveur de la mixité sociale, de l’éducation et de la revitalisation des communautés locales.

Alban du rostu

Alban du Rostu, directeur général du Fonds du Bien Commun, loue les vertus de notre tissu associatif. Dans un contexte de baisse des dons, il est indispensable que le gouvernement mette en place un plan ambitieux pour préserver et développer nos associations, plaide-t-il.

Une grande partie des 100 jours que s’était donnés la première ministre pour conduire le pays vers l’apaisement s’est déjà écoulée, et si les manifestations se font plus clairsemées, les divisions politiques et sociales profondes demeurent. Pourtant, le gouvernement pourrait trouver dans les centaines de milliers d’associations qui irriguent le pays des relais précieux pour tisser le nouveau contrat social promis par le président de la République.

Abstention, défiance, démissions en masse, désaffiliation vis-à-vis des structures qui ont fait la France et la Vᵉ République (État, Église, partis, syndicats, etc.) dessinent pour l’observateur pressé un inquiétant tableau. Qui veut encore s’engager ? Regardant la jeunesse, on s’inquiéterait plus encore. Lors de la dernière élection nationale (législatives 2022) seuls 28 % des moins de 30 ans ont voté. Oui, mais… dans cette tranche d’âge qu’on dit volontiers centrée sur elle-même, 40 % sont bénévoles dans une association. Il suffit de regarder les rangs de la Protection civile, ou les engagements de chefs scouts pour se rendre à l’évidence : l’engagement est une réalité forte et quotidienne.

Paradoxe apparent de notre société divisée, la recherche de sens est devenue omniprésente : au travail, dans la consommation, dans l’éducation, pour l’environnement… partout, on s’interroge et on agit pour donner un sens à nos quotidiens. Et les Français agissent ! Selon un récent rapport de France Générosités, les dons ont augmenté de 10,7 % entre 2021 et 2022. Au-delà de l’argent, 16 millions de bénévoles agissent sur le terrain. Donateurs ou bénévoles, près de la moitié des Français s’engage pour les associations qui agissent sur les causes qui leur tiennent à cœur.

Le gouvernement veut agir pour l’éducation et la santé ? Il veut lutter contre l’exclusion et la pauvreté ? En première ligne des réalités de notre pays, les associations peuvent l’orienter et lui faire toucher une réalité qui, parfois, passe entre les mailles d’une approche purement administrative ou technique. C’est le sens de l’action qu’ont mené cinq associations sous le nom de « maraude des parlementaires » cet hiver. Tous les parlementaires, de toutes étiquettes, ont été invités à partir anonymement à la rencontre des sans-abri. Une soixantaine a relevé le défi et leurs témoignages humbles et nuancés, c’est-à-dire proprement humains, laissent espérer une évolution de la prise en charge des sans-abri dont le nombre a augmenté de 10 % entre 2022 et 2023.

En incluant les associations et leurs bénévoles et donateurs dans la cocréation et la mise en œuvre de ses réformes, le gouvernement s’offrirait une opportunité unique de rassembler les Français autour d’un grand projet commun. »

Alban du Rostu, Directeur général du Fonds du Bien Commun

De plus, les associations sont des laboratoires d’innovation sociale, elles permettent de tester de façon agile et localisée des initiatives qui pourraient ensuite être répliquées par l’État. L’exemple type est celui du partenariat entre Pôle emploi et la Fondation de l’engagement pour tous, qui expérimente localement le fait de confier des missions de bénévolat aux chercheurs d’emploi. Les résultats sont clairs : l’engagement bénévole facilite le retour en activité.

L’exemple de l’association 1001 mots, qui travaille avec les relais PMI et l’ensemble du réseau associatif pour aider les parents à éveiller le langage des enfants de moins de trois ans, est très parlant également : l’objectif est de limiter, avant même la scolarisation, l’écart qui pourrait se creuser entre les enfants. Au lieu de soigner les maux a posteriori, attachons-nous à les prévenir.

En incluant les associations et leurs dizaines de millions de bénévoles et donateurs dans la cocréation et la mise en œuvre de ses réformes, le gouvernement s’offrirait une opportunité unique de rassembler les Français autour d’un grand projet commun. Dans l’immense majorité des cas l’engagement associatif ne repose ni sur l’ambition personnelle, ni sur le goût de l’argent ou la soif de notoriété. Il est l’action de ceux qui croient à un idéal et sont en quête de sens.

Aujourd’hui pourtant le modèle associatif est menacé. Passée la vague de solidarité pour l’Ukraine, comment évolueront les dons en contexte d’inflation ? Près de quatre donneurs sur dix envisagent de moins donner en 2023. Pourtant, nombre de frais des associations évolueront avec l’inflation. L’allongement de la durée de cotisation et le départ plus tardif à la retraite ont inquiété nombre d’acteurs associatifs habitués à compter sur les jeunes retraités pour mener leurs actions.

Un plan ambitieux et transversal pour le soutien et le développement de la vie associative serait pour le gouvernement l’opportunité de soutenir mieux ceux qui agissent au quotidien pour le Bien commun.

Alban du Rostu, Directeur général du Fonds du Bien Commun

Plus profondément, les associations sont limitées dans le déploiement de leur plein potentiel. Dans une économie où se développent par milliers les entreprises « à mission » et les fonds d’investissement « à impact », la distinction stricte entre lucratif et non lucratif pénalise parfois les associations. Plusieurs pistes pourtant pourraient être explorées comme le relèvement du plafond des recettes d’exploitation des organismes à but non lucratif. Combien d’associations limitent-elles aujourd’hui le développement de leurs activités lucratives (par exemple la dispense de formations ou de prestations de conseil) pour ne pas risquer de perdre leur qualification d’intérêt général ?

Les demandes sont nombreuses. Un plan ambitieux et transversal pour le soutien et le développement de la vie associative serait pour le gouvernement l’opportunité de soutenir mieux ceux qui, souvent dans la discrétion et de façon bénévole, agissent au quotidien pour le Bien commun.

Les millions de Français de tous âges, toutes conditions et toutes sensibilités politiques, qui s’engagent dans des associations témoignent du fait que l’engagement continue, en 2023, à être une aspiration soutenue dans notre société qu’on dit en mal de sens. Dans un contexte de vives tensions politiques et sociales, ces associations sont un signe d’espoir et pourraient servir d’inspiration et de relais pour les politiques attachés à l’unité de notre pays.

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